« Nous rappelons que la consommation et la possession de drogues sont interdites en Côte d’Ivoire. De plus, consommé des substances hallucinogènes est très néfaste pour la santé. Nous ne conseillons à personne d’en prendre ».
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Dans les ghettos d’Abidjan l’argent est relatif, pour un bien matériel de 500.000 FCFA, certains sont prêt à donner leurs vies juste pour recevoir 5.000 FCFA.
Tout se passe dans la commune la plus mouvementée d’Abidjan. Ici, l’argent est maître, mais encore plus pour les dealers. Afin d’avoir une vision d’ensemble sur ce qui se passe réellement dans le monde des narco-trafiquants Abidjanais, nous avons essayés d’infiltrer le cartel babylonien pour mener nos enquêtes qui ont finalement aboutis. Nous vous conterons l’histoire d’un jeune d’homme qui a laissé graviter son âme autour de ce qu’on appelle dans le milieu la « dose ».
Nous sommes en plein milieu d’Abidjan, plus précisément à Cocody ou dans un chic quartier vie une famille assez aisée. Cette famille c’est celle du jeune dont nous vous contons l’histoire, appelons ce jeune HK. Ce dernier grandi en ne manquant de rien. C’est dire qu’il fréquente dans les meilleurs collèges de la ville et dans les meilleurs conditions possibles et même si HK n’est pas très intelligent à l’école, ses parents on de quoi le soutenir.
C’est a l’âge de 24 ans que HK étant à l’université touche pour la première fois à « la dose ». Pour mieux vous faire comprendre ce que « la dose » représente, sachez qu’il s’agit en fait de drogues fortes. Dans les ghettos d’Abidjan, on appelle les résidus du crack « le pao » et celles de la cocaïne « le yor ». Deux mots qui font palpiter les « junkies ».
Après deux mois de consommation de ces deux substances, HK devient accro. Quelques années plus tard se dernier est méconnaissable, c’est dire qu’il ne peut plus s’empêcher de consommer. Au début la famille de HK a essayée de le contenir. Pour avoir sa « dose », il a commencé par vendre toutes ses affaires. Puis il s’est mit à vendre les choses de sa famille. Et comme il veut toujours plus, il s’est mis à aller voler à l’extérieur. Aujourd’hui HK va de toit en toit pour voler le gaz des voisins. Triste histoire n’est ce pas ? Tout cela pour en venir au réel problème et aux réelles causes de se embarra.
Dernièrement la police a fait une frappe dans un ghetto de Cocody. Comme chaque mois d’ailleurs. Même si chaque mois la police s’attelle à faire des descentes dans les ghettos d’Abidjan on constate que rien ne changent. Souvent, on dit qu’avant chaque frappe les chefs dealers sont déjà au courant. Qui les appellent donc pour les avertir ? Qui ne connaît pas la réponse ?
Un ghetto à Cocody peut rapporter plus de 5 millions dans la journée surtout les jours de fêtes. Et même si la vente de drogues est très rentable, il ne s’agit pas là de la seule entrée d’argent des dealers. Ces derniers encouragent certains junkies à aller voler, des recettes alternatives mais très juteux puisque qu’un bien voler par un junkie qui coûte 600.000 FCFA, sera racheté trois ou dix milles franc CFA par le chef des dealers.
Le problème ici, s’est de penser aux parents de tout ces jeunes comme HK qui deviennent des junkies et qui n’ont de cessent de pleurer et de souffrir. Nous n’avons pas abordé ce sujet comme si cela ne se savait pas. Nous avons abordé ce sujet parce que cela se sait mais ne se dit pas. Que fais donc la police pour remédier à une telle débauche ?
Content created and supplied by: Vrylaergö (via Opera News )
COMMENTAIRES
LonzoBlaiseKoffi
02-22 18:19:50oh monsieur le journaliste vous êtes pire qu'un drogué. Faites vous aider par quelqu'un qui est allé à l'école.
GUEST_32Vl8wP5n
02-23 00:12:19l'essentiel c'est de comprendre ce qu'il veut dire sinon on n'est pas à l'école hein
ChristKacou_01
02-22 16:24:31parents eduquons nos enfants selon les voies de Dieu et sa parole