Nombreux sont les utilisateurs de l'huile en côte d'Ivoire. On pourrait même dire que tous les ménages en consommation.

Cependant, certains groupes d'opérateurs excellent dans l'utilisation de ce produit(l'huile) comme matière première dans la préparation des aliments qu'ils commercialent dans tous les restaurants et les carrefours des villes du pays.

On peut nommer entre autres : Les vendeurs ou vendeuses d'allocco, d'Attièké poisson grillé, de garba,

de beignet, de pain continents ,de riz gras, de Tchep sénégalais,

d'igname ou patate grillées, de frites au poulet...

En un mot tous les vendeurs qui utilisent l'huile dans leur préparation.

Les deux sociétés de production d'huile dans le pays et le ministère du commerce expliquent cette augmentation par le cours très élevé du baril d'huile de palme sur le marché mondial.

Ainsi, le prix du bidon de 25L Dinor est passé de 20.000 CFA à 24500 CFA, le prix du bidon de 20L Aya de 16.000 CFA à 19500 CFA , le bidon de 5 L de 4500 f CFA à 5500 fCFA, et la bouteille de 1,5L de 1450 f CFA à 1700 f CFA .

La raison tient et ne souffre d'aucune contestation. Mais quand on sait que toutes ces vendeurs doivent réaliser des bénéfices et assurer leurs charges, on est en droit de s'interroger sur la question de savoir s'ils ne vont pas à leur tour passer à:

-une augmentation du prix des plats des aliments?

-Où comme deuxième solution réduire le volume ou le poids des plats proposés aux clients?

Dans tous les cas les producteurs et les vendeurs d'aliment n'accepterons pas de perdre en tant qu'opérateur économique.

Chers clients, chers consommateurs apprêtez votre poche et votre ventre car ils risquent de subir des moments difficiles.

Source : le salut73 opéra new.

Site officiel du ministère du commerce.

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