Aujourd’hui le chômage est un mal qui n’épargne personne. Si autrefois atteindre un certain niveau d’étude élever nous ouvrait en grand les portes de l’emploie aujourd’hui force est de constater que ce n’est plus le cas. Pour preuve, au dernier au dernier recrutement des enseignant du supérieur, assistant et attachés de recherche, c’était au totale 2923 docteurs qui ont candidaté en vus de pouvoir enseigner dans les différentes Universités de côte d’ivoire. Sur ce nombre impressionnant de candidats c’est seulement trois cent vingt-six (326) candidats qui ont été retenus pour les différents postes d’assistant et de chercheur. C’est donc un total de deux mille cinq cent quatre vingt dix sept (2597) docteurs qui sont resté sur le carreau.

Ainsi, il n’est plus rare de voir à Abidjan de voir un jeune homme se débrouiller dans les petits métiers avec un doctorat en poche. Une telle situation n’est pas faite pour encourager la jeune génération qui constat que même en se consacrant entièrement à ses études pendant de longues années cela ne garantie pas une issue heureuse à la sortie. Pourtant dans nos Universités on remarque une lenteur incroyable dans le processus de dispensation des cours pour manque de disponibilité des professeurs. Il n’est pas rare qu’une année universitaire s’étale sur deux années civiles ; alors braver toutes ces difficultés du système ivoirien pour sortie sur le carreau cela est vraiment déplorable. IL convient donc REFORMER systèmes éducatifs en profondeur afin d’arriver à un enseignement de qualité qui permet aux étudiants d’entrevoir un avenir radieux. 

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