Le Directeur Général de l’Office National de la Protection Civile (ONPC), AMANKOU Kassi Gabin, a mis deux cars de ramassage à la disposition de ses collaborateurs habitant les communes d’Abobo et de Yopougon depuis le lundi 1er février 2021.
Cette initiative du DG à l’endroit de ses agents n’est pas un cas isolé car plusieurs actions dans ce genre sont entreprises depuis sa prise de fonction en mars 2020, pour l’amélioration des conditions de vie et de travail des pompiers civils et du personnel administratif de l’ONPC.
Pour ces agents, il s’agit d’un véritable geste de soulagement en ce qu’ils ne « souffriront plus » pour rejoindre leur lieu de travail.
« Le moral est au beau fixe, depuis que nous avons appris cette bonne nouvelle de la direction» a déclaré l’Adjudant- Chef Major BOUABRE Paul, qui estime que cette mesure aurait dû être prise depuis la délocalisation de l’ONPC dans le quartier de la Riviera Golf 4 en 2012. Il a traduit sa reconnaissance au premier responsable de la structure qui selon lui fait du bien-être de ses collaborateurs une priorité absolue.
Mousrat Diaby, pompier civil en poste à la direction générale et habitant le quartier N’Dotré dans la commune d’Abobo, interrogé, s’est exprimé en ces termes : « cette action de la direction est à saluer car nous sommes moins stressés côté transport. Notre souhait est que cela perdure ».
En effet, c’est le lundi 24 janvier 2021, que Monsieur DAMANA Dakoury, Directeur de l’Administration et des Finances, avait annoncé au personnel la décision du DG de mettre en circulation les cars en vue de renforcer leur ponctualité et leur assiduité au service.
Grâce à cette action les travailleurs de l’ONPC bénéficient désormais de la gratuité du transport de leur lieu d’habitation au service.
Content created and supplied by: Chroniqueur_2.0 (via Opera News )
COMMENTAIRES
GUEST_aep8Z43d5
02-04 09:28:38vos vieux car la paff
GUEST_Vor48pnzg
02-04 09:06:31C'est bien beau mais pensé au condition de vie des agents et au covid 19 des agents de lonpc qui né sont pas pris en charge depuis 2020 jusqu'au aujourd'hui pourtant nous sommes les plus exposé