L'histoire de Boris a fait couler plus que des larmes des cœurs des internautes et des ivoiriens.

L’histoire de cet étudiant qui résidait dans une maison inachevée, qui étudiait sous une bougie et qui poussait des charrettes au marché pour se scolariser a fait objet de reportage et de leitmotiv pour les jeunes ivoiriens. Dieu le voulant il a décroché son baccalauréat et les bonnes âmes couvraient ses frais de scolarité à l'Université Catholique de l'Afrique de l’Ouest (UCAO).

Puis la mort avait décidé que cette histoire serait trop belle et envoya sa sœur le récupérer. La grande faucheuse a agrippé le 17 janvier 2021 cette représentation personnifiée de l'abnégation ; du courage et du moral d'acier.

Celui qui était sûrement promis à un bel avenir. Aujourd'hui auront lieu les obsèques de Guèï Dédé Boris , parti trop tôt. Et les frères et sœurs (étudiants) de son université ont tenu à lui rendre un dernier hommage à cet « héros » comme le nomme ses frères et sœurs étudiants.

La côte d'Ivoire entière doit saisir cette perche et se joindre aux étudiants pour rendre un énième hommage à cette « leçon de vie » grandeur nature qu'est Guéï Dédé Boris. D’où l’utilité de cet billet.

« Si la faim pouvait tuer ! » sont les propos de ce brave jeune homme, malgré tout il a tenu bon jusqu'à son dernier souffle.

Repose en paix Héros ; Champion ; Leçon de vie. Garde nous place auprès du Père.

Kad’Cool

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