Dimanche 4 avril 2021. L’affaire n’est pas simple. La tradition vient d’être brisée. C'est la Pâque. La résurrection de Jésus Christ. La résurrection n’est pas le retour à la vie. Lazare mort, est revenu à la vie. Mais avec les handicaps de son corps. Il ne peut traverser les murs, ni s’élever dans les airs. Le ressuscité est ressuscité avec un corps nouveau, puissant, glorieux. Un corps qui ne connait pas la loi de la pesanteur. Un corps qui traverse les murs…  L'église, résultat de cette résurrection, l'acclame. Elle l'acclame. A genoux. Elle le célèbre. Il est victorieux de la mort. Il a triomphé du tombeau.

Même les enfants à genoux acclament Jésus!

L'église est en fête. Son vendredi noir, vendredi des ténèbres, est passé. Son vendredi des tribulations et des échecs est passé. Son vendredi des accusations et des flagellations est derrière elle. Son samedi des souffrances est passé. Samedi des larmes et des doutes est révolu. C'est dimanche. Son glorieux dimanche. Dimanche de la pierre roulée. Dimanche du constat de son salut. Dimanche de la nouvelle alliance. Dimanche de la puissance de la résurrection. La résurrection s'empare de l'église de Jésus. Une puissance communiquée à chacun. Aux fidèles. Mais aussi au monde entier. L'église voit que la vie de la résurrection est entrée dans la vie du peuple. La résurrection de sa santé. La résurrection de sa sécurité. La résurrection de ses affaires. La résurrection de ses projets. La résurrection de ses finances. La résurrection de son travail. La résurrection de sa vie.

Alors l’église se met à genoux et acclame Jésus. Ici, c’est l'Eglise Baptiste missionnaire Grâce Divine à Koumassi. Le Pasteur Dapa Kra, au nom de Jésus a donné la bénédiction au peuple acquis.

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